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mardi 21 juillet 2015

Nouveau moyen de désinfection radical et non toxique en milieux intérieurs

TITAN Effect - DEXPERT

De nouveaux procédés de photocatalyse très efficaces, capables de minéraliser partiellement ou en totalité la plupart des composés organiques.


L'usine nouvelle - image
Des procédés brevetés tel que TitanEffect® permettent la désinfection de locaux par la lumière et plus généralement le traitement des surfaces et de l'air.
La dépollution et la désinfection des locaux, chambres stériles, surfaces autonettoyantes... 
Les applications concrètes sont innombrables, à la fois pour les professionnels et aussi aux lieux publics afin d'assainir notre environnement au quotidien..

Définition scientifique de la photocalyse ?
Un catalyseur est une substance qui augmente la vitesse d’une réaction chimique thermodynamiquement possible par diminution de l’énergie d’activation. La photocatalyse résulte de la catalyse hétérogène, c’est-à-dire que la réaction se produit uniquement à la surface du catalyseur.

l'actualietechimique.org



La photocatalyse basée sur le dioxyde de titane (TiO2) est reconnue au niveau international en tant que nouvelle désinfection de haut niveau des matériaux.
Schéma de réaction TITAN Effect





Ce procédé est employé couramment dans les lieux demandant une désinfection de haut niveau comme 
  • les hôpitaux, blocs opératoires, ambulances
  • les établissements de santé, centres de soins, ..
  • les écoles, les crèches, etc..
  • les sanitaires, 
  • tous les lieux publiques (métro, bus, salle d'attente,...)
  • etc.

La photocatalyse Titan Effect permet sans effort de décomposer complètement presque toutes sortes de bactéries grâces à la lumière.


Salmonella - faculty.college-prep.org
Staphylococcus epidermidis bacteria. scharfphoto.com:

La photocatalyse TiO2 présente deux mécanismes biochimiques différents :
  • Le TiO2 irradié par la lumière réagi directement avec les cellules
  • Réaction de désinfection indirecte.
Ce traitement assure une protection active de l'environnement par la dépollution de l'air et la décomposition des polluants et des particules fines.



Le traitement avec "Titan Effect", active de l'oxygène actif, et supprime efficacement les polluants aériens tels que :
  • Composés d'azote et d'oxygène qui comprennent les gaz d'acide nitrique et de dioxyde d'azote. Ils sont produits principalement par la combustion des combustibles fossiles) = NOx
  • les particules fines organiques PM2,5 (source : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/3481.htm)
    • Nitrate d'ammonium :  51 % - le nitrate d'ammonium est un composé "secondaire", formé dans l'atmosphère à partir d'ammoniac et d'oxyde d'azote, sous l'action de la photochimie. L'ammoniac est principalement émis par les activités agricoles. Il représente 97% des émissions nationales annuelles d'ammoniac en 2011. Les oxydes d'azote (NOx) sont principalement émis par les transports, et dans une moindre mesure l'industrie manufacturière et l'agriculture. Ils concernent respectivement 56%, 14% et 10% des émissions nationales de NOx en 2011.
    • Primaires combustion de biomasse : 15 % - particules fines émises directement dans l'atmosphère par la combustion de biomasse (chauffage au bois et brûlage de déchets verts).
    • Primaires fuel fossile : 11 % - particules fines émises directement dans l'atmosphère par la combustion de dérivés du pétrole (dont les transports).
    • Organiques secondaires : 12 % - particules fines composées de matière organique, générées dans l'atmosphère à partir de précurseurs gazeux comme les composés organiques volatils (COV). En période hivernale (comme c'est le cas actuellement), ces COV sont émis principalement par les activités humaines.
    • Sulfate d'ammonium : 11 % - le sulfate d'ammonium est également un composé "secondaire", formé dans l'atmosphère à partir d'ammoniac et de dioxyde de soufre. Le dioxyde de soufre est émis en France par l'industrie manufacturière et la transformation d'énergie.

Ces polluants dangereux pour la santé, sont émis principalement par les gaz d'échappement, chargeant l'air des centres ville, provoquant des difficultés respiratoires, tout en attaquant les bâtiments. Titan Effect converti ces polluants toxiques en nitrates non toxiques.

La désinfection
Le traitement anti-bactérien peut être utilisé sans danger dans les lieux publics et équipements tels que les hôpitaux, cliniques, écoles, hôtels, bus, métro, salles d'attente, etc.
Toilette d'un bar
La photocatalyse Titan Effect offre un puissant effet permettant de tuer presque toutes sortes de bactéries et virus, incluant SRAS, H5N1, H1N1, etc. 

Cette action est présente à long terme. Le traitement Titan Effect peut décomposer complètement les bactéries et virus, leur corps et l'endotoxine, et exerce une effet stable pour détruire les nouvelles variations de bactéries. 

Grâce au photo catalyseur, les bactéries et virus sont complètement décomposés.

Titan Effect ne perdra pas son effet à cause de l'accumulation des organismes bactériens sur la surface (comme le processus anti-bactérien d'argent par exemple). 

Le photocatalyseur Titan Effect peut éliminer 
  • la fumée de cigarettes 
  • les odeurs liées aux animaux de compagnie par exemple, 
  • les allergènes d'intérieur pour réduire l'incidence des maladies respiratoires,
  • etc...
Les avantages 
Souvent, les endroits demandant un traitement anti-bactérien puissant et efficace sont situés en intérieur et dans des lieux moins exposés à la lumière.

Suite à ce constat, une adaptation spécifique pour notre produit anti-bactériens a été développé. Il s’agit d’un produit bénéficiant bien évidement des caractéristiques de la photocatalyse, mais optimisé d’une part pour l’intérieur (réaction avec la lumière artificielle) et d’autre part pour une action quasi constante. Cette continuité d’action est obtenu grâce à l’intégration de nanoparticules d’argent dans le produit afin de nettoyer l’air des bactéries et virus même sans lumière.

La combinaison des deux actions permet d’obtenir un degré d’efficacité optimal et dans le temps.
  • Spectre de stérilisation large, aucun choix de cible (bactéries et virus)
  • Hautes performances et effet durable
  • Décomposition du corps et de l’endotoxine des germes
  • Sûre, aucune pollution supplémentaire et inoffensif pour les êtres humains
  • Élimine les allergènes et odeurs
  • Protège efficacement contre les maladies épidémiques dans les lieux publics, hôpitaux...
  • Excellents résultats et aucune odeur n’est libérée.
A côté de l'aspect environnemental, la prévention des mesures de nettoyage apporte naturellement une réduction significative des frais d'entretien

(nous consulter pour plus d'information)




(Source d'information : http://www.dexpert.info)

vendredi 10 juillet 2015

Etude qualité de l'air dans les écoles françaises


Quelle est la relation entre 
la mauvaise qualité de l'air intérieur 
et 
la santé allergique et respiratoire des enfants des écoles françaises?


Introduction





L'équipe Epidémiologie des Maladies Allergiques et Respiratoires (EPAR) d'Isabella Annesi-Maesano[1], vient de publier dans la revue Thorax les résultats de son étude sur la qualité́ de l'air à l'intérieur de 108 écoles primaires réparties dans 6 villes françaises. 

Bien que la qualité de l'air intérieur varie en fonction des écoles et des villes, les chercheurs révèlent qu'environ 30% des 6590 enfants suivis, soit 3 enfants sur 10, sont exposés à des niveaux des principaux polluants atmosphériques supérieurs aux valeurs guides recommandées par l'OMS et l'ANSES.


Les enfants sont plus sensibles aux effets de la pollution de l'air que les adultes. La pollution de l'air intérieur peut entrainer chez les enfants des problèmes de santé à court et à long terme tels que :



·       la congestion nasale,
·       des irritations de la peau et des yeux,
·       des réactions allergiques,
·       de l'asthme,
·       des maux de tête,
·       de la fatigue,

·       des vertiges ou encore des nausées. 


Dans les pays industrialisés, les enfants passent environ 80% de leur temps à l'intérieur, dont une grande partie à l'école. Bien que des données américaines soulignent une pollution de l'air intérieur accrue dans les établissements scolaires, les relations entre cette qualité de l'air intérieur des écoles, la santé allergique et respiratoire des enfants scolarisés n'ont été que peu explorées.

C'est pourquoi l'équipe EPAR d'Isabella Annesi- Maesano, a mené́ une étude dans six villes de France (Bordeaux, Clermont-Ferrand, Créteil, Marseille, Strasbourg et Reims) sur un large échantillon de 401 classes dans 108 écoles primaires.


L'objectif de l'étude consistait à évaluer l'exposition de 6590 enfants concernés, garçons et filles âgé(e)s de 10 ans en moyenne, aux principaux polluants atmosphériques des classes et à analyser le lien avec l'asthme et les rhinites développées par les enfants scolarisés dans ces classes. 


L'étude montre que 30% des enfants sont exposés à des niveaux de polluants de l'air intérieur des classes supérieurs aux valeurs guides de l'OMS et de l'ANSES[2], soit en moyenne 3 enfants sur 10, bien qu'ils n'y soient pas exposés de la même manière.


"L'intérêt de notre étude est de disposer de données sur un nombre important d'enfants répartis sur l'ensemble des régions de France métropolitaine", 
explique Isabella Annesi- Maesano.


Les chercheurs ont analysé pendant une année scolaire les concentrations de différents polluants atmosphériques:
·       les particules fines de diamètre inférieur à 2,5 micromètres (PM2.5),
·       le dioxyde d'azote (NO2)
·       3 aldéhydes (formaldéhyde, acétaldéhyde et acroléine).

Les particules fines et le dioxyde d'azote (NO2) proviennent essentiellement de la combustion automobile et peuvent rentrer par transfert (en ouvrant les fenêtres) à l’intérieur des locaux par exemple.


Les aldéhydes sont des polluants intérieurs issus de nombreuses sources:
·       produits de combustion (cigarette, bougies, encens, cheminée, cuisinières à       gaz),
·       de construction
·       de décoration (bois, parquets stratifies, des colles de moquettes, des papiers     peints,
·       mais également des vernis, des mousses isolantes),
·       d'entretien (détergents, désinfectants, lingettes)
·       le traitement (insecticides)...

En parallèle, l'équipe de recherche a étudié les signes cliniques des enfants grâce aux données recueillies lors d'une visite médicale comportant aussi un test cutané́ aux 11 allergènes les plus communs (acariens, chat, pollens...) et un test d’exercice permettant de détecter l'asthme à l’effort. Ces données ont été complétées par un questionnaire rempli par les parents.

"L'exposition à des concentrations élevées de particules et composés organiques volatils est associée à une augmentation de la prévalence des signes cliniques de l'asthme et des rhinites chez les enfants scolarisés. Les enfants sujets aux allergies semblent les plus à risque", révèle la chercheuse.

En détails, les résultats montrent que les rhinites (en particulier les rhino conjonctivites) sont associées de manière significative à des taux forts de formaldéhydes dans les classes.
Et qu'une augmentation de la prévalence de l'asthme est observée dans les classes avec des taux élevés de particules fines PM2.5, de formaldéhyde, d'acroléine.

La relation entre la mauvaise qualité́ de l'air et l'asthme concerne le plus souvent l'asthme de type allergique défini par le test cutané́.



"La mauvaise qualité de l'air intérieur pourrait à terme détériorer la santé allergique et respiratoire des enfants qui passent en moyenne 8h par jour à l'école. Il est donc important de maintenir une bonne qualité́ de l'air en classe. Cela permettrait de limiter les risques de développer les signes cliniques des rhinites et de l'asthme. Cette action doit être accompagnée par une surveillance stricte de l’exposition des enfants aux polluants à la maison et à l'extérieure

conclut l'équipe de recherche.





[1] Elle est la directrice de recherche Inserm dans l'unité de recherche 707 "épidémiologie, systèmes d'information, modélisation" (Inserm/UPMC)

[2] Particules fines (PM2.5) : 10μg/m3 selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) Dioxyde d'Azote (NO2) : 40μ/m3 selon l'OMS

Formaldéhydes : 10μg/m3 par an selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire, de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES)

jeudi 2 juillet 2015

New development in the indoor air pollution

New technology to treat  air pollution indoor 

An effective and economical application in order to eliminate VOC, bacteria, germs and odors, by a treating local areas with a specific surface treatment solution. It's a new treatment by photo catalysis and completely invisible. This reaction requires only a daylight or artificial light (from natural or any electric lights). 

Target sectors:  

  • hospitals (ex : pediatric ward - large premature)
  • Industries : pharmaceutical, cosmetic, food processing, 
  • Hotels and restaurants, 
  • School, nursery
  • and much more..


Contact me for more information.